Le paysage UGC bouge vite, et avec lui une question revient souvent : où trouver des templates UGC vraiment utiles, inspirants et stratégiques ? Pas ceux qui t’enferment dans un cadre rigide, mais ceux qui te servent de tremplin pour créer plus vite, plus juste, sans perdre ton style. Derrière cette recherche, il y a souvent les mêmes élans : envie d’exprimer quelque chose, besoin d’indépendance, curiosité pour la vidéo verticale qui capte la lumière d’un écran en quelques secondes. Et aussi les mêmes freins : peur de ne pas être « assez pro », difficulté à structurer ses idées, impression que tout a déjà été fait.
Les templates UGC peuvent devenir des alliés puissants pour dépasser ces blocages, à condition de savoir où les dénicher et comment les utiliser. Entre les modèles gratuits de plateformes comme Canva, les ressources créées par des studios, les packs d’agences, les plateformes UGC comme Youdji ou Moggo, et même tes propres frameworks maison, il existe un véritable écosystème de supports prêts à personnaliser. Au fond, la question n’est pas seulement « où trouver des templates UGC ? », mais plutôt : « comment transformer ces modèles en tremplin pour un contenu vivant, authentique et performant ? »
En bref :
- Templates UGC sur Canva et outils graphiques : idéal pour structurer scripts, mini-briefs et portfolios sans repartir de zéro.
- Plateformes UGC (Youdji, Takema, Moggo…) : une source de modèles concrets via les briefs, les annonces, les portefeuilles de créateurs et les formats demandés par les marques.
- Ressources spécialisées (Notion, Google Docs, Agathe Templates…) : contrats, checklists et workflows prêts à adapter à ton activité.
- Analyse de campagnes réelles : décoder les publicités et social ads UGC pour créer tes propres templates à partir du terrain.
- Expérimentation personnelle : transformer chaque projet en laboratoire pour affiner des modèles de scripts, de tournage et de collaboration.
Où trouver des templates UGC pratiques : Canva, portfolios et premiers modèles prêts à l’emploi
La première porte d’entrée vers les templates UGC, c’est souvent un outil que tu utilises déjà sans y penser : Canva. En quelques recherches avec des mots-clés comme « UGC », « vidéo TikTok », « portfolio UGC », tu tombes sur des dizaines de modèles de scripts, carrousels, présentations de créateurs, dossiers médias. Ces modèles ne sont pas des recettes magiques, mais des structures qui t’aident à organiser ton contenu et à clarifier ton message.
Imaginons Léa, créatrice débutante qui veut présenter ses services à des marques. Elle tape « portfolio UGC » sur Canva. Elle tombe sur un modèle de portfolio avec page de présentation, exemples de vidéos, témoignages, grilles tarifaires. En une après-midi, elle adapte les couleurs, insère ses miniatures, réécrit les textes. Ce portfolio devient son premier outil de prospection, puis un support qu’elle continue à faire évoluer à chaque nouvelle collaboration.
Les templates UGC les plus utiles sur ce type d’outils ne sont pas forcément les plus « design ». Ceux qui servent vraiment à long terme sont souvent :
- Les scripts de vidéos courtes : accroche – problème – démonstration – bénéfice – appel à l’action.
- Les checklists de tournage : plans à filmer, angles, formats, éléments de marque à intégrer.
- Les portfolios prêts à l’emploi : structure de présentation, sections pour chiffres, résultats, storytelling.
- Les modèles de carrousels pour LinkedIn ou Instagram, utiles aux créateurs comme aux marques.
- Les grilles tarifaires simplifiées pour envoyer des offres claires sans y passer des heures.
À côté des outils graphiques, beaucoup de créateurs partagent désormais leurs propres modèles sur leurs sites ou boutiques digitales : templates de scripts UGC pour TikTok, modèles de briefs pour les marques, ou exemples de messages d’approche. Certains studios proposent même des « kits UGC » avec portfolio, script, calendrier éditorial et modèles d’emails. Ces ressources sont intéressantes pour découvrir la logique d’un créateur plus avancé, puis l’adapter à ton propre ton.
Pour t’aider à comparer les premières sources de templates UGC accessibles, un aperçu synthétique peut clarifier les options :
| Source de templates UGC | Type de modèles | Niveau de personnalisation | Idéal pour |
|---|---|---|---|
| Canva (recherche « UGC ») | Portfolios, scripts visuels, carrousels, présentations | Très élevé (textes, visuels, couleurs modifiables) | Créateurs débutants à intermédiaires |
| Templates de créateurs UGC | Scripts, messages d’outreach, briefs types | Moyen à élevé | Freelances qui veulent gagner du temps |
| Ressources agences / studios | Decks clients, présentations de concepts, benchmarks | Moyen (structure plus figée) | Marques et agences |
| Outils documentaires (Notion, Docs) | Workflows, checklists, tableaux de suivi | Total, mais design minimal | Créateurs organisés et équipes |
Pour que ces templates restent vivants, il est utile de les voir comme des bases de travail, jamais comme des cages. Tu peux en combiner plusieurs, effacer des sections, mélanger des idées. L’essentiel est que la structure te simplifie l’action, sans étouffer ta créativité. La prochaine étape consiste à explorer un autre terrain de modèles : ceux qui émergent directement des plateformes UGC.

Où trouver des templates UGC sur les plateformes : Youdji, Takema, Moggo et autres hubs créateurs
Les plateformes UGC sont souvent perçues uniquement comme des lieux de mise en relation entre marques et créateurs. Pourtant, elles sont aussi une mine de templates implicites : formats récurrents, briefs types, structures de campagnes. En observant ces éléments avec un regard attentif, tu peux te construire une bibliothèque de modèles directement inspirée du terrain.
Regarde par exemple une plateforme comme Youdji. Elle rassemble plus de 6300 créateurs, parlant plus de 60 langues, avec une note moyenne de 4,9/5 sur des milliers de contenus livrés. Sur ce type de plateforme, les marques peuvent publier des briefs, choisir des formats précis (unboxing, témoignages, démonstrations produits, social ads pour TikTok, Instagram ou Facebook). Chaque brief devient en soi un gabarit : objectifs, livrables, ton attendu, durée, droits d’utilisation.
En parcourant plusieurs annonces, tu peux repérer des schémas :
- Les formats les plus demandés : témoignage face cam, UGC « POV », storytelling avant/après, unboxing détaillé.
- Les durées récurrentes : 15-30 secondes pour les ads, jusqu’à 60 secondes pour l’organique.
- Les éléments incontournables : phrase d’accroche, démonstration du produit, mention d’un bénéfice clé, appel à l’action.
- Les contraintes de marque : mots-clés à intégrer, angles à éviter, mentions légales, formats verticaux.
- Les types de livrables : vidéos brutes, versions montées, variations 9:16 / 1:1, miniatures.
En parallèle, des plateformes comme Takema, Moggo ou des solutions plus orientées influence comme Findly montrent d’autres approches. Takema, par exemple, met en avant la publication gratuite d’annonces auprès de centaines de créateurs, avec une assistance à la rédaction de briefs détaillés. Moggo, de son côté, vend des packs d’UGC au volume : plus tu commandes de vidéos, plus le coût par vidéo baisse, ce qui suppose des formats très standardisés, donc des modèles répétables.
Voici un panorama simplifié de ce que ces plateformes peuvent t’apporter en termes de « templates invisibles » :
| Plateforme UGC | Type de “templates” observables | Intérêt pour créateurs | Intérêt pour marques |
|---|---|---|---|
| Youdji | Briefs, formats d’annonces, structures d’offres | Comprendre les attentes réelles des marques | Standardiser la demande, gagner du temps |
| Takema | Modèles d’annonces, filtres précis de casting | Savoir comment se positionner dans un casting | Clarifier critères, droits, budgets |
| Moggo | Logiques de packs, volumes, formats récurrents | Structurer des offres par lot de vidéos | Industrialiser la création sans perdre l’authenticité |
| Findly | Campagnes orientées UGC/influence, formats clés | Identifier les formats « incontournables » | Relier influence et UGC dans une même stratégie |
Un exemple concret : une marque de cosmétique publie un brief pour trois vidéos UGC. Une pour un unboxing, une pour une démonstration « routine du matin », une pour un avant/après après 30 jours d’utilisation. En tant que créateur, tu peux transformer ce brief en template de campagne : trois scripts types, trois plans de tournage, une structure de montage adaptée à chaque phase du tunnel de vente (découverte, intérêt, preuve).
Les marques, elles aussi, peuvent se servir de ces plateformes comme d’une bibliothèque d’idées. En filtrant par secteur (food, beauté, tech), puis en observant les portfolios, il devient possible de repérer les angles qui fonctionnent, les durées qui génèrent le plus de vues, et même les styles d’UGC les mieux notés. Ces observations peuvent ensuite être traduites en templates internes pour briefer d’autres créateurs ou pour inspirer une équipe sociale.
Une question utile à se poser à chaque nouvelle plateforme explorée : quels sont les modèles implicites que cette interface met en lumière ? C’est souvent là que naissent les meilleurs templates UGC, ceux qui collent à la réalité des collaborations et non à des idées théoriques du marketing.
Templates UGC juridiques, organisationnels et stratégiques : où trouver des modèles pour cadrer son activité
Créer du contenu, c’est une chose. Le faire dans un cadre clair, avec des contrats, des process et des documents structurés, c’en est une autre. Beaucoup de créateurs se rendent compte, au bout de quelques collaborations, que les vrais blocages ne viennent pas toujours des idées, mais du cadre : facturation floue, cession des droits mal définie, attentes non alignées. C’est là que les templates juridiques et organisationnels deviennent essentiels.
Il existe aujourd’hui de nombreuses ressources qui proposent des modèles de :
- Contrats UGC : précisant les droits d’utilisation, la durée, les plateformes, la rémunération.
- Devis et factures adaptés aux prestations de contenu.
- Calendriers éditoriaux pour organiser les tournages et les livraisons.
- Tableaux de suivi de projets : statut des tournages, commentaires clients, versions.
- Guides de collaboration pour les marques et agences.
Des créateurs de templates comme Agathe Templates, par exemple, proposent des fichiers numériques personnalisables (contrats, plannings, tableurs) pensés pour simplifier le quotidien : tout est prêt, il suffit de remplir, adapter, et actualiser. Certains utilisent Notion, d’autres Google Sheets, peu importe l’outil, l’important reste la clarté du cadre.
Côté marques, des plateformes comme Youdji intègrent déjà des contrats pré-rédigés, des systèmes automatiques de facturation et de paiement sécurisé. Un témoignage fréquent revient : en centralisant contrats, factures et messages au même endroit, la collaboration devient plus fluide, même quand une personne quitte l’équipe ou part en congé. Ce type d’outil fonctionne lui aussi comme une collection de templates vivants.
Pour visualiser les principaux modèles organisationnels utiles autour de l’UGC, le tableau suivant propose un tour d’horizon :
| Type de template UGC | Où le trouver | Utilité principale | Pour qui |
|---|---|---|---|
| Contrat de cession de droits | Boutiques de templates, juristes, plateformes UGC | Encadrer l’utilisation des vidéos dans le temps | Créateurs, marques, agences |
| Devis / facture type UGC | Modèles Excel, outils comptables, créateurs | Clarifier tarifs, options, délais | Créateurs freelance |
| Calendrier éditorial | Notion, Google Sheets, templates spécialisés | Planifier tournages et publications | Créateurs, social media managers |
| Workflow de projet UGC | Plateformes (Youdji), Notion, agences | Suivre chaque étape : brief, script, tournage, validation | Équipes marketing, studios |
| Guide de collaboration | Sites de formation, blogs UGC | Aligner attentes, ton, process | Marques et créateurs |
On peut imaginer un studio fictif, « Lune Studio », qui commence avec des mails improvisés, des contrats copiés-collés et une organisation dans des fichiers éparpillés. Au bout de quelques mois, les retards s’enchaînent, les incompréhensions aussi. Puis le studio décide de mettre en place des templates unifiés : un modèle de brief pour chaque campagne, un contrat standard, un tableau de suivi partagé avec les clients. En quelques semaines, la qualité des projets reste la même, mais l’expérience globale est plus sereine, pour l’équipe comme pour les créateurs.
Ces modèles ne tuent pas la spontanéité. Au contraire, ils libèrent l’espace mental pour se concentrer sur ce qui compte vraiment : les idées, la lumière, les émotions captées en vidéo. Quand le cadre est clair, le contenu peut respirer. La prochaine étape consiste justement à voir comment les templates peuvent accompagner le quotidien créatif, sans étouffer l’intuition.
Créer ses propres templates UGC à partir du quotidien : scripts, tournages et routines créatives
Les templates les plus puissants ne viennent pas toujours d’une plateforme ou d’un outil. Ils naissent souvent du quotidien. D’une campagne qui a bien fonctionné. D’un script qui a fait mouche. D’une séquence de tournage particulièrement fluide. À partir de là , il devient possible de créer ses propres modèles, alignés sur sa manière de travailler et sur la façon dont on perçoit le monde digital.
On peut suivre l’exemple d’un créateur fictif, Samir. Au départ, Samir teste tout : vidéos face cam longues, montages complexes, scénarios très écrits. Il se perd un peu. Puis il remarque qu’un certain schéma revient quand une vidéo performe :
- Une accroche très simple, souvent une question directe filmée en plan serré.
- Une mise en situation dans le quotidien : salle de bain, cuisine, métro.
- Une démonstration authentique du produit, sans surjouer.
- Une phrase finale qui invite à passer à l’action, sans pression.
À partir de là , Samir transforme cette observation en template de script. Il crée un document avec cinq blocs : accroche, contexte, démonstration, bénéfice principal, appel à l’action. À chaque nouveau brief, il remplit les cases, ajuste, personnalise. Le template lui sert de base, mais il n’hésite pas à en sortir quand une idée plus intuitive apparaît.
Pour structurer ce type de démarche, beaucoup de créateurs s’appuient sur de petits rituels :
- Une session de brainstorming léger chaque semaine, pour noter des idées d’accroches.
- Un document d’écriture libre où déposer des phrases, des ressentis, des micro-scènes du quotidien.
- Des moodboards pour garder en tête une ambiance, une lumière, une palette.
- Un tableau de suivi des tests : scripts testés, performances, ressentis.
Ces petits systèmes, mis bout à bout, forment une sorte de « bibliothèque intérieure » de templates. Elle est souple, mobile, évolutive. Elle t’aide à ne pas repartir d’une page blanche, tout en laissant de la place à l’imprévu, à l’erreur, à ce moment où un rire ou un silence capté en tournage devient la meilleure prise de la journée.
Pour avoir une vue d’ensemble des modèles que tu peux créer à partir de ta pratique, voici un récapitulatif :
| Template UGC personnel | Élément de base | Comment le construire | Bénéfice créatif |
|---|---|---|---|
| Script vidéo type | Une vidéo performante existante | Découpe en accroche, corps, preuve, CTA | Gagner du temps sans perdre le ton |
| Routine de tournage | Une journée de shooting réussie | Lister les étapes, les horaires, le matériel | Réduire le stress et les oublis |
| Checklist de créativité | Moments où les idées affluent | Noter ce qui les a déclenchés (lieu, musique, mood) | Recréer plus facilement ces conditions |
| Template de réponse aux marques | Un échange mail clair et fluide | En faire un modèle d’email adaptable | Poser un cadre pro sans se brider |
| Grille d’analyse de campagne | Un UGC vraiment marquant | Noter ce qui fonctionne : rythme, ton, montage | Affiner ton œil et ton style |
Ces modèles ne cherchent pas la perfection. Ils servent surtout à cultiver une créativité durable, qui ne dépend plus entièrement de la motivation du jour ou d’un algorithme capricieux. Créer devient alors moins une course effrénée, plus un art de vivre rythmé par des repères souples. Dans ce mouvement, il reste une dimension essentielle : la communauté et le partage d’expériences.
Templates UGC, communauté et plateformes de partage : s’inspirer sans se copier
Le dernier endroit où trouver des templates UGC, c’est tout simplement dans la communauté : autres créateurs, studios, agences, marques. Les échanges, même informels, sont souvent l’espace où se dévoilent des modèles de scripts, de collaborations, de campagnes. Une simple phrase lâchée en visio peut devenir un template mental que tu garderas pour les dix prochains projets.
Les plateformes comme Youdji ou les groupes de créateurs autour de studios (comme Takema, Woo ou d’autres) ne servent pas qu’à décrocher des missions. Elles permettent aussi de :
- Observer les portfolios d’autres créateurs et repérer la manière dont ils structurent présentation, résultats, avant/après.
- Écouter les témoignages de marques qui partagent ce qui a vraiment fonctionné pour elles.
- Participer à des campagnes test pour expérimenter de nouveaux formats sans pression excessive de performance.
- Échanger des astuces sur les scripts, la lumière, le cadrage, l’organisation.
Les chiffres montrent à quel point l’UGC a pris une place centrale : une très grande majorité de clients consulte désormais les avis de vraies personnes avant d’acheter. Sur certaines plateformes comme YouTube, les vidéos UGC obtiennent jusqu’à dix fois plus de vues que du contenu de marque classique. Et les consommateurs jugent souvent le contenu généré par des utilisateurs presque dix fois plus impactant que les posts des influenceurs traditionnels.
Dans ce contexte, il est logique que se développe tout un écosystème de plateformes spécialisées. Certaines, comme Wiink, vont chercher les contenus auprès des clients directement, avec des missions et des programmes de parrainage intégrés à des boutiques en ligne. D’autres se concentrent sur la connexion créateurs-marques ou construisent des systèmes de crédits, de packs, de commissions. Chacune propose ses propres modèles de collaboration.
Pour donner une vue d’ensemble de la manière dont la communauté UGC alimente les templates, voici un dernier tableau :
| Source communautaire | Template UGC implicite | Ce que tu peux en tirer | Comment l’utiliser |
|---|---|---|---|
| Portfolios de créateurs | Structure de présentation de projets | Idées pour ton propre portfolio | Adapter l’ossature, garder ton style visuel |
| Témoignages de marques | Modèles de collaborations réussies | Compréhension fine des attentes | Créer des checklists de « bonne collaboration » |
| Blogs et contenus pédagogiques | Scripts, workflows, idées de formats | Nouvelle boîte à outils créative | Tester, ajuster, garder ce qui te ressemble |
| Groupes privés / Discord | Messages, réponses types, bonnes pratiques | Templates relationnels (négociation, feedback) | Construire tes modèles d’emails et messages |
| Campagnes UGC virales | Schéma narratif et visuel | Référentiel de ce qui touche vraiment | Créer des scripts inspirés, sans copier |
Au cœur de cette dynamique, une chose reste essentielle : ne pas se perdre dans la comparaison. Regarder les modèles des autres, oui. S’en servir d’inspiration, oui. Se juger à travers eux, non. Les meilleurs templates UGC sont ceux qui t’aident à dire plus clairement ce que tu veux dire déjà , avec ton regard, ton histoire, ta manière de ressentir les choses.
Alors, la prochaine fois que tu croiseras un portfolio inspirant, un brief bien structuré, une campagne qui te touche, tu peux te poser une simple question : quel template vivant pourrais-tu en extraire pour ta propre pratique ?
Où trouver des templates UGC gratuits pour débuter ?
Les premiers templates UGC gratuits se trouvent souvent sur des outils comme Canva, en cherchant des modèles de portfolio, scripts ou présentations liés à l’UGC. Tu peux aussi explorer les blogs de créateurs et les plateformes UGC : les briefs publiés, les annonces et les exemples de campagnes peuvent facilement être transformés en modèles personnels de scripts, de tournage ou de collaboration.
Comment utiliser un template UGC sans perdre mon authenticité ?
Un template sert surtout de structure. L’idée est de l’utiliser comme un cadre souple : tu gardes la logique (accroche, démonstration, appel à l’action), mais tu changes les mots, le ton, les situations, les lieux. Si une partie ne te ressemble pas, tu l’adaptes ou tu la supprimes. L’important n’est pas de suivre le modèle à la lettre, mais de l’ajuster à ta voix et à ton énergie.
Les plateformes UGC proposent-elles des modèles directement exploitables ?
Certaines plateformes intègrent des contrats, des workflows et des systèmes de facturation déjà prêts, ce qui constitue des templates organisationnels solides. Les briefs de campagnes, les formats demandés et les exemples de contenus livrés forment eux aussi des modèles concrets, même s’ils ne sont pas toujours présentés comme tels. En les observant, tu peux construire tes propres scripts, offres et process.
Dois-je forcément acheter des templates UGC pour être crédible ?
Non. Les templates payants peuvent faire gagner du temps, mais ils ne sont pas indispensables pour être crédible. Tu peux créer tes modèles à partir de ton expérience, de campagnes que tu analyses, de ressources gratuites, ou de documents que tu structures toi-même. Ce qui compte surtout, c’est la clarté de tes propositions, de tes contrats et de tes contenus, pas le prix des modèles utilisés.
Comment faire évoluer mes templates UGC dans le temps ?
Garde une version de base de chacun de tes templates (script, brief, contrat, portfolio), puis mets-les à jour après chaque campagne importante. Note ce qui a bien fonctionné, ce qui a généré des incompréhensions, ce qui a le mieux performé. Ajuste un bloc à la fois : une accroche, une section de brief, une étape de ton process. Tes modèles évolueront ainsi naturellement avec toi, au rythme de ta pratique et de ton regard sur l’UGC.

